Les petits métiers de Bordeaux.
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- LE BOURRELIER ou HARNACHEUR
- Il y en avait 1 à l'angle de la rue de Peybois et de l'abbé Raby. Il fabriquait et réparait les licols, les harnais, les besaces et les tabliers des utilsateurs de chevaux et de bovins pour la locomotion et le travail de la terre.
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- Marchand de marrons : "Chauds les marrons, chauauauds!"
- Marrons grillés au feu de bois. "Ils sont chauds mes marrons, ils sont beaux mes marrons, ils sont bons mes marrons !" Chauds les marrons a été une expression populaire. A Bordeaux, sur les grands axes, il y avait autrefois des marchands de marrons.
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- ARRACHEUR DE DENTS sur son estrade.
- Sur Quinconces,lors des foires,début 1900,il y avait un dentiste.Il ouvrait la bouche du patient, y introduisait une pince afin d'extriper la dent.Les badauds regardaient,un orchestre jouait,il repartait la tête entourée d'un mouchoir noué.
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- TONNELIER. Les quais de Bordeaux résonnaient du bruit de son travail.
- Il utilise du chêne pour la fabrication du tonneau, le bois est préparé en douelles par le mérandier. Le tonnelier les assemble,les chauffe et les resserre par des cercles de fer, il insére les pièces de fond et perce le trou de bonde.
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- Le Rétameur ou chaudronnier ambulant était d'Auvergne ou du Lyonnais.
- il réparait, rénovait les batteries de cuisine dans les campagnes. "Tam, tam, tam, c'est moi qui rétame, même le macadam, c'est moi qui mets des fonds partout, qui bouche tous les trous". CPA envoyée à Etcheto-Mendionde 64.
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- Le Ramoneur Savoyard, sans sa marmotte. Sur les routes dès le 07.09.
- "Etoile des neiges..."De 1750 à 1892 dès l'âge de 6 ans, ils étaient sur les routes de France tout l'hiver. Ils avaient créé leur propre langage : "Qu'importe que vous ne compreniez pas, nous ne sommes que de passage".
